mercredi, novembre 29, 2006

Gastronomades 2006

Compte rendu de notre présence aux Gastronomades d'Angoulême les 24, 25 et 26 novembre 2006.
Le 23 après-midi cela à bien commencé quand le responsable du chapiteau nous à attribué le stand jouxtant l'accueil du chapiteau beaucoup mieux placé que celui qui nous était destiné car placé à l'entrée, zone claire et spacieuse. Vendredi 24, journée de moindre affluence les enfants des écoles étaient reçus, nous avons fourni, à la demande des organisateurs, un plateau d'environ 80 pommes de multiples variétés, astiquées et étiquetées "MFDC" pour que les enfants puissent goûter les variétés anciennes. Le samedi 25 fut une journée très chargée, il n'est pas un moment où le stand soit resté sans visiteurs, depuis 10 heures jusqu'à 19 heures, nous n'avons pu déjeuner qu'en se relayant. Quant à la journée de dimanche, ce fut du délire. Claude Hilairet, Michel Rivet, Stéphane Dumont, Christian Dallier, Joseph et Félix Rousselière et moi avons "assuré" pendant ces trois jours, merci à eux. Nous avons fait des adhésions 2006 à 3 semaines du changement d'année sans solliciter les visiteurs ni verbalement ni par écrit. Retenons aussi que beaucoup de visiteuses s'approchaient du stand et nous disaient "çà sent si bon...". nous pouvons d'ores et déjà prévoir de nombreux visiteurs pour les ouiquènedes de greffage du 24-25 février à Aubeterre et du 10-11 mars à Barbezieux, visiteurs affichant toujours autant d'intérêt pour la plantation de variétés anciennes et non triviales.
Mais ce qui est étonnant c'est l'engouement pour les nèfles, les cormes et les alises : beaucoup de gens redécouvrent ces fruits de leur enfance, certes mais les jeunes sont encore plus curieux, ils veulent goûter, savoir comment est l'arbre, à quoi il ressemble... Nous devons prévoir des greffons de néflier pour les journées de greffage ainsi que quelques plants de cormier.
Quelques personnes nous ont demandé d'identifier des pommes, parfois nous avons réussi, parfois pas.
En résumé, si nous ne devions participer qu'à une manifestation par an, il faudrait "faire les gastronomades".